guitar hero World tour : appréciations

Je viens d’acheter « guitar hero World tour » (et accessoirement une Playstation 3 quelques jours avant).
Je tiens à préciser que j’ai aimé. J’ai adoré. C’est génial. Les sensations procurées pour un gros débutant sont géniallissimes. Le terme pour quelqu’un qui n’a jamais joué d’instrument et qui y joue c’est : grisant. Vraiment génial. J’insiste parce que j’ai noté juste après toutes les choses que je n’ai pas aimées, donc on peut penser que je n’aime pas le jeu. Mais si ! Il y a juste des manques que je trouve surprenants, surtout qu’ils n’en sont pas à leur premier coup, c’est leur cinquième version de guitar hero ! Une qualité irréprochable est de mise ! Là, à leur cinquième essai, des choses qui sont pourtant indispensables manquent. Ce n’est pas normal, à mon avis. Cela dit, j’insiste quand même : le terme pour quelqu’un qui n’a jamais joué d’instrument et qui y joue c’est : grisant.
J’ai été incroyablement surpris par beaucoup de manques flagrants sur l’interface :

  1. Lorsqu’on choisit l’option concert, mais qu’on ne choisit pas le concert en entier, juste une seule chanson, c’est qu’on a un objectif : battre un record ou tout simplement apprendre à jouer la chanson. Alors pourquoi n’y a-t-il aucune possibilité de rejouer la chanson à la fin, si on arrive au bout de la chanson ? Non, il n’y a aucune possibilité, on revient au choix des concerts. PIRE : on ne revient pas là où on a choisi la musique, mais systématiquement sur le concert qu’on n’a pas encore fait ! Rien de plus énervant, surtout moi qui veut souvent refaire une même chanson, lorsque j’arrive à la fin de la chanson :
    • je dois attendre le chargement du menu concert,
    • je dois revenir au bon concert,
    • je dois re-choisir la bonne chanson,
    • je dois ré-attendre que toute la présentation du concert soit passée,
    • et enfin pouvoir rejouer la chanson.
  2. Alors je choisis le mode « répétition ». Première chose à laquelle je pense : « on peut choisir des morceaux de la chanson donc on doit pouvoir les jouer en boucle jusqu’à ce qu’on se décide d’arrêter » (le bouton « start » qui n’est jamais utilisé, par exemple). Eh bien non ! Je joue la partie de la chanson que j’ai choisie et là :
    • je dois ré-attendre le chargement du menu,
    • je dois re-choisir jouer,
    • je dois ré-attendre le chargement,
    • et enfin pouvoir rejouer le morceau…
  3. De plus, on ne sait pas où on en est dans la chanson ! A-t-on fini de la jouer ? Ca va durer encore longtemps ? Très très frustrant, surtout quand on débloque le premier concert à 8000$ et que les chansons de ce concert (assez dur question rythme), durent genre 7-8 minutes, on se dit au bout de 3-4 minutes, le temps d’une chanson classique, « ouf c’est fini » (crampes crampes !) mais bah non on en a encore pour le double de temps… très très irritant. Le vrai problème ce n’est pas cela en plus ! En pratique, c’est un jeu pour tout le monde. Donc on voudrait partager ! Si on est plusieurs, vous dites « je termine c’est à toi », mais pas moyen de savoir où on en est et les autres attendent, bêtement, en ne sachant pas s’ils ont le temps de partir faire un petit truc (toilettes, servir apéritif ou autre petite chose), ou s’il leur faut rester parce que c’est presque fini !
  4. Dernière chose : les modes de jeu. On pense, comme dans tous les jeux existants, qu’il y a une progression à faire si on veut aller plus loin. Donc : il y a plusieurs concerts, on ne peut accéder à certains concerts que si on en a fait d’autres. Et là… aucune difficulté à ouvrir tous les concerts : on se met en mode débutant, et hop ! On débloque tous les concerts. Pire : si on veut immédiatement s’essayer au mode expert, on peut. Mais c’est stupide, il n’y a aucune sensation de progression ! On pourrait imaginer en mode carrière, devoir tout faire de manière progressive : débloquer les concerts en mode débutant, et seulement après avoir tout débloqué, être autorisé au mode de difficulté suivant. Ainsi, on pourrait être bien plus motivé : passé le mode débutant, on pourrait (génial, j’ai progressé, je vois la suite !) voir ce qu’il y a en mode facile, et après facile, le mode moyen etc.
  5. Qu’est-ce qui vous motive dans guitar hero ? Vous. Et vous seul. Aucune suggestion du genre « si vous arrivez à faire cette chanson en mode difficile il y aura une surprise… ». Bah non. Rien. Tout peut se débloquer en mode « débutant ». C’est vraiment à mon avis un gros manque.
  6. Et puis les stats personnelles. Bah oui, si on a eu le malheur de voir Cerebral Academy, eh bien on a eu une idée de ce que sont des belles courbes : on voit ses progrès, les derniers essais, c’est tout simplement génial. Là, on imagine un truc simple : en mode « répétition », hop : un petit graphique avec les essais en X et le pourcentage de réussite en Y, et on verrait tout de suite la progression. Bah non, y’a rien de tout ça. On ne sait absolument pas si on progresse. Aucun encouragement, aucune surprise, bref, rien qui motive vraiment à continuer.
  7. Imaginons un mode challenge : on essaie de battre son propre record : on joue, et à la fin de la chanson, on affiche un gros graphique en barres tout simple avec les caractéristiques (slides, etc) et une barre pour le meilleur score et une pour votre score à vous. Tellement simple mais ce serait tellement efficace ! Bah non, y’a rien de tout ça.

Et encore pas mal d’autres petits trucs énervants mais bon je ne m’attarde que sur les plus énervants !

Linux : rechercher les programmes qui accèdent à un fichier

Comment rechercher les programmes qui accèdent à un fichier ?

Je vous donne un exemple concret : j’ai monté un répertoire qui est un lien vers un répertoire d’un autre PC.

La commande « mount ». Une fois que je n’en ai plus besoin, je fais « umount » pour le retirer. Et là, problème : ça ne fonctionne pas : il me dit qu’il ne peut pas le retirer, quelque chose y accède toujours !

Pas de problème : tapez :

lsof | grep [nom du répertoire monté]

et vous verrez quelles sont les applications qui y accèdent.

« lsof » vous sauve la vie.

Ca ne vous est jamais arrivé de pester contre Windows lorsque que vous faites « Retirer le périphérique » et que vous avez le message « Impossible de retirer le péripérique » ? Moi si. Avec lsof sur Linux, vous n’aurez jamais ce genre de désagrément !

Linux vsftp : mémo ajout d'un utilisateur

Voilà, je perds toujours un temps fou à rechercher comment ajouter un utilisateur pour qu’il se connecte sur le serveur ftp.

Si vous n’y arrivez pas, lisez le fichier de configuration :
/etc/vsftpd.conf
Dedans il y aura beaucoup d’informations utiles.

Voilà le résumé pour ajouter un utilisateur sur le serveur vsftp :

  1. Créer l’utilisateur. Par exemple :
    noeunoeu
  2. Changer son mot de passe :
    passwd noeunoeu
  3. L’ajouter à la fin des fichiers suivants :
    • /etc/vsftpd/chroot_list
    • /etc/vsftpd/user_list

Et voilà tout devrait fonctionner !

Robin Hobb – L'assassin Royal – Appréciations

J’ai lu le premier tome  du roman de Robin Hobb : L’assassin Royal.

Voici ce que j’en pense :

Si vous aimez :

  • l’époque des Rois et Reines, ducs, duchés, châteaux etc. ;
  • les complots, les idées originales, les bons scénarios qui tiennent la route ;
  • les description belles, longues, qui parlent d’émotions intérieures, et qui sont – paradoxalement – suffisamment courtes pour ne pas vous lasser ;

alors ce roman (en plusieurs tomes) est fait pour vous (d’ailleurs lisez les appréciations des lecteurs sur amazon : vous en saurez bien plus !).

Si vous n’aimez pas les descriptions détaillées, les mots assez recherchés (j’en ai appris beaucoup !), alors vous risquez de vous ennuyer ferme, évitez le comme la peste !

Wipwip et chat vidéo direct avec Adobe : prix exhorbitant…

J’ai cherché cherché et finalement je suis tombé exactement sur ce que je voulais : un chat en direct + webcam powered par Adobe.
Je lis tout ça ici :
http://www.adobe.com/devnet/flex/articles/help_callcenter.html
Et je vois à la fin qu’il ne gère pas dans l’exemple, le flux vidéo : c’est le serveur de flux Adobe qu’il faut !!!
Il se trouve ici :
http://www.adobe.com/products/flashmediaserver/fvss/
Et là où ça fait mal au *** c’est que c’est payant !
Bah voilà. Je me fais suer à apprendre BlazeDS et en fait je m’aperçois après moultes recherches qu’en réalité il est entièrement fait pour la gestion de messages, mais absolument pas pour servir des vidéos. Tant pis.

The Gimp : mémo de la syntaxe Script-Fu

Script-Fu est le langage de script pour automatiser The Gimp. Voici un mémo pour ceux qui veulent faire rapidement du Script-Fu.

Résumé Script-Fu

  • Style d’écriture : notation Polonaise inversée : (+ 1 2) donnera 3
  • Tout est entre parenthèses. Même une fonction qui n’a pas de paramètres.
    Exemple de fonction qu’on appelle sans passer de paramètres : (gimp-image-list)
  • Tout s’écrit sous la forme :
    (f x1 . . . xn)
    Et f est une fonction, ou un mot-clé.
    Exemples de mots-clé : if, and, or, let, define, car
  • Le code (define <symbole> <expression>)
    sert à définir un <symbole> qui devient une variable globale.
    Un <symbole> peut être une fonction ;
  • Définition d’une fonction :
    (define (myfunc param1 . . . paramn) (corps de la fonction))
    Sachant que param1 . . . paramn sont les paramètres à passer à la fonction ;
  • Les constantes booléennes vrai / faux sont notées #t (=true) et #f (=false).
    Exemples :
    > (integer? (sqrt 2))
    #f
    > (integer? 4)
    #t
  • Exemple : (gimp-image-list)

NB : ce mémo est destiné à faire rapidement du Script-Fu. Rien de plus !

The Gimp : exemple simple Script-Fu

Detail pas à pas de la création d’un listing :

  • Decription de la fonction gimp-image-list :
    Cette fonction renvoie une liste :

    • premier élément = nombre d’images
    • ce qui suit = pointeurs sur les images
  • Code classique d’appel de la fonction :
    (gimp-image-list)
  • Assigner à imgs le tableau résultat de (gimp-image-list) :
    let (imgs (gimp-image-list) )
  • Si on veut immédiatement se resservir de la valeur de imgs, il faut utiliser let *
    Donc :
    let* (
    (imgs (gimp-image-list))
    )
  • Mettre le nombre d’images dans la variable nb-imgs :
    let* (
    (imgs (gimp-image-list))
    (nb-imgs (car imgs))
    )
  • Mettre le reste du tableau dans la variable img-array :
    let* (
    (imgs (gimp-image-list))
    (nb-imgs (car imgs))
    (img-array (cadr imgs))
    )

The Gimp et Script-fu : afficher tous les ordres disponibles

L’une des fonctions les plus intéressantes de The Gimp est la possibilité d’écrire des scripts afin d’automatiser les manipulations. Ces scripts sont écrit en langage « Script-Fu« .
Si vous avez un peu fait de Script-Fu, voilà une astuce pour afficher rapidement tous les ordres disponibles en Script-Fu pour The Gimp version 2.6.3.

  1. Allez dans le menu Script, choisissez « Script-Fu », et dans le sous-menu, choisissez : « console » : Script-Fu 01
  2. Une fenêtre de console s’ouvre. Cliquez sur le bouton « parcourir » : Script-Fu 02
  3. Et là vous avez le navigateur qui affiche tous les Script-Fu disponibles, vous pouvez en voir les sources et faire ce que vous voulez avec : Script-Fu 03
  4. Mais vous pouvez faire mieux : tapez « new » et ainsi vous aurez pratiquement tous les ordres « Script-Fu » qui servent à créer un nouvel objet : ainsi vous saurez quels sont tous les objets qu’il est possible de créer sous The Gimp :
    Script-Fu 04

Kluster : une bonne idée

La traduction n’est pas complète, si vous voulez, je vous laisse faire le reste et me laisser votre travail en tant que commentaire (on peut toujours rêver)… bah oui quoi je vous ai apporté déjà pas mal d’informations, non ?

Si les hommes d’affaire comptent sur la sagesse des masses pour les aider à faire plus de business, il serait enfin temps que les masses aient une petite compensation.

Sur Kluster, le site de Ben Kaufman’s, les compagnies paient les utilisateurs pour leurs idées.

C’est la théorie derrière Kluster, le dernier rejeton de la lignée des compagnies qui veulent utiliser les Web pour drainer l’intelligence collective des étrangers afin de construire des stratégies de business gagnantes. Avec un système de gratifications en monnaie sonnante et trébuchante, et une très bonne impression faite à là conférence de TED la semaine dernière à Monterey, Calif., Kluster espère attirer suffisamment de visiteurs avec suffisamment de personnes créatives pour atteindre des sommets.

En plus des membres du publique, les 1,000 participants de TED, une conference dédiée aux nouvelles technologies, au design et aux divertissement, qui attire les leaders de beaucoup d’industries, ont essayé Kluster pour chercher de nouvelle idées pour un produit, ensuite ils en on choisi un, et ont participé au design. Le résultat : « Over There », un jeu de plateau éducatif ayant pour objectif de promouvoir l’éveil à la culture, avec des questions telle que « Quel est le pourcentage de la population mondiale qui vit plus loin que un kilomètre d’une source d’eau naturellement potable ? ».

Selon Ben Kaufman, le jeune fondateur de 21 ans de Kluster, il y avait uniquement deux contraintes : le produit ne devait pas dépasser 20 x 20 cm et devait pouvoir être construit en une seule injection de plastique (contrainte industrielle). Tout au long du processus, Mr. Kaufman expliquait qu’il imaginait que le produit serait « quelque chose qui ne serve pas un intérêt futile du consommateur, mais un vrai produit humanitaire qui pourrait être utilisé par tout le monde. »

Mr. Kaufman a dit qu’en réalité ce serait son point de départ. Ce même personnage, fondateur de Mophie, un revendeur d’accessoires iPod, a gagné un concours de design de produit à la conférence Macworld, avec des gens qui soumettaient des idées et utilisaient un site Web pour affiner les designs et voter.
C’est ici qu’est né « Bevy » — un porte clé et ouvre-bouteille intégré à un boîtier iPod Shuffle — produit qui a été vendu en plusieurs milliers d’exemplaires à d’autres revendeurs dans le monde entier. Fort de ce succès, Mr. Kaufman a revendu Mophie en août pour une somme non diffusée, et a commencé un business né directement de l’expérience qu’il avait eu lors de la conférence Macworld.

Kluster includes a number of refinements to that process. Those who join are given 1,000 units of Kluster scrip, called « watts », and they may earn more by telling the site more about themselves, like their area of expertise, age and income. Meanwhile, businesses are invited to post specific tasks to be addressed, like creating a new product, logo or corporate event.
Participants browsing the ideas offered by Kluster members can bet some or all of their watts on the ideas they most believe in, or post ideas of their own. Those who had winning ideas earn at least 20 percent of the bounty offered by the company that sought the idea, as well as more watts, while those who bet on the winning idea earn watts. Those who bet wrong lose what they wagered.

Mr. Kaufman said several well-known manufacturers would offer projects on the site after the TED contest. He would not disclose the identities of those businesses, but some, he said, would offer $50,000 or more for winning ideas, while others expect to give far less and hope that they have enough good will among their customers to spur ideas.
Kluster will make money, he said, by taking 15 percent of any rewards offered to projects and by charging fees for prominent placement of projects on the site, among other things.
Don Tapscott, the business strategy consultant and co-author of the book « Wikinomics », said executives were quickly warming to the strategic value of « P.F.E. » ideas, or those « proudly found elsewhere. »
« Throughout the 20th century, we’ve had this view that talent is inside the company », Mr. Tapscott said. « But with the Web, collaboration costs are dropping outside the boundaries of companies, so the world can become your talent. »
Mr. Tapscott, who credited Procter & Gamble with the P.F.E. concept, said executives can go overboard with the idea of outsourcing innovation if, in seeking such help, they expose too much of a company’s trade secrets. But so far, he knows of no business that has done so.
« They always err on the other side », he said. « They don’t do enough. »
Among the obstacles in Kluster’s path are sites like InnoCentive and Cambrian House, which operate similarly. InnoCentive, based in Waltham, Mass., was until late last year a forum for solving science-related problems, typically for cash rewards. In September, it expanded into business, engineering and computer science, among other things. Since then it has grown by 15,000 participants, to 140,000, the company said.
Cambrian House, which is based in Calgary, Alberta, and has 64,000 participants, will also expand its Web site this year to accommodate projects across a broader range of industries. Until now, said Jasmine Antonick, a Cambrian House founder, the site has attracted mostly software and Web entrepreneurs.
Ms. Antonick expects the site to be profitable later this year, when it receives a share of payments made by businesses to several of Cambrian House’s participants, like two men who created Gwabs, an online video game that is to be distributed by an undisclosed company this summer.

Le mois prochain, il présentera VenCorps, un site grâce auquel des investisseurs et autres personnes affiliées, pourront consulter des idées provenant de gens extérieurs, et, au bout de 30 jours, payer le concepteur de l’idée 50,000 dollars en échange d’un d’un achat de parts ou autres.

VenCorps est un partenariat établi entre Cambrian House et Spencer Trask Collaborative Venture Partners, une division New-Yorkaise d’investisseurs de la boîte Spencer Trask. Sean Wise, l’un des fondateurs de Collaborative Venture Partners, avoue qu’il a beaucoup d’espoirs concernant ce site.

« Quel que soit mon degré d’ingéniosité », a-t-il dit, « je ne pourrai jamais produire quelque chose d’aussi subtil et fin que ce qui ressort d’une réflexion collective d’une communauté. »

Josh Bernoff, un analyste chez Forrester Research, a annoncé que Kluster avait un vrai « potentiel commercial ».

« Demander à une communauté de l’aide pour résoudre des problèmes va certainement faire progresser le commerce », a-t-il ajouté. « Ce n’est, actuellement, toujours pas quelque chose qui donne la possibilité de faire une grosse plus-value dans le business. »

… pas encore.