Marketing téléphonique : la résistance passive efficace

Ma femme et moi sommes littéralement assaillis de coups de téléphone pour de la publicité : comment faire diminuer le taux d’imposition, nous avons gagné une cafetière il faut aller la chercher au magasin, etc. Nous ne voulons pas payer pour être dans la liste des gens qui ne veulent pas de publicité (nous considérons que c’est du vol). Nous ne voulons pas non plus être agressifs avec la personne qui nous appelle : c’est son travail, on ne va pas l’insulter (même si mon beau père parfois dépasse allègrement les limites de la courtoisie). L’appel en lui même n’est pas gênant (quoique), le vrai problème c’est l’heure : ils appellent toujours au moment où ils ont de l’espoir de nous avoir, et c’est toujours à ce moment qu’on ne veut pas être dérangés. Quand on fait la sieste le dimanche à deux heures de l’après midi, quand on rentre le soir qu’on est crevé il est 20h00 on veut avoir la paix etc. Bon bref : ils nous ennuient. D’où la question : comment faire pour les faire suer autant qu’ils nous font suer, sans pour autant pénaliser l’employé ? Il faut faire suer les patrons, les gens qui ont l’argent et qui choisissent, contre le respect des autres,  d’appeler les gens à des heures indécentes. Voilà la solution la plus simple et la moins aggressive : l’objectif est de tenir le plus longtemps l’employé en haleine au téléphone et de raccrocher à la fin en concluant qu’on n’est pas intéressé. Exemple : le téléphone sonne. Vous décrochez.

– Oui bonjour je suis bien chez Mr Machin ?

– Oui tout à fait.

– Vous connaissez la loi Trucmuche de réduction sur les impôts ?

Et là au lieu de dire (très important) « je ne suis pas intéressé » ou autre « allez vous faire cuire un œuf » (en plus malpoli), dites :

– Ah non, je ne connais pas ! C’est incroyable ! Quelle est cette loi ?

Et ainsi le dialogue s’installe. Ensuite, tenez la personne en haleine un maximum de temps et à la fin vous raccrochez en concluant : « je ne suis pas intéréssé ».

Ma femme, qui ne veut pas rester au téléphone longtemps, applique une tactique tout aussi efficace. Elle répond « Ah non, je ne connais pas ! C’est incroyable ! Quelle est cette loi ? Attendez, ne quittez surtout pas je vais chercher mon mari. ». Et puis elle dépose le téléphone et le laisse ainsi pendant plusieurs minutes. N’hésitez pas à me proposer d’autres suggestions, mais je n’en ai pas trouvé de plus efficaces actuellement.

Photos de neige à Aix en provence / Vitrolles / Cabriès

Voilà les photos prises lorsqu’il a neigé (autant pour la première fois depuis une bonne trentaine d’années) dans le Sud de la France, principalement Aix en Provence / Marseille / Vitrolles (si vous cliquez dessus vous allez avoir un agrandissement de toutes les photos !) :

Photo de neige n°2185 Photo de neige n°2228 Photo de neige n°2229 Photo de neige n°2230 Photo de neige n°2255 Photo de neige n°2288 Photo de neige n°2292 Photo de neige n°2318 Photo de neige n°2320 Photo de neige n°2372 Photo de neige n°2371

Dofus : captures d'écran : le retour

Voici quelques nouvelles captures d’écran :

A sa décharge, je pense que le jeune est Espagnol :

Capture d'écran Dofus n°12

Encore de quoi s’arracher les yeux quand on lit ça (argh les jeunes !) :

Capture d'écran Dofus n°13

Mon premier challenge économe gagné : 12% de mon niveau pris en 7 minutes :

Capture d'écran Dofus n°14

Euh… disons que c’est à vous de juger ce qui suit, il n’y a rien à ajouter de plus :

Capture d'écran Dofus n°15

Aix en Provence, Calas, Vitrolles : de la neige ! Impossible de rentrer chez moi

Ce matin je suis parti… il y avait pas mal de neige qui tombait et je me suis dit « pas grave, de toute façon ça va s’arrêter ».
Eh bien non, ça a même continué !

Impossible de rentrer chez moi, voyez la neige qu’il y a sur ma voiture :

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.1

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.2

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.3

Voilà les photos que j’ai prises, juste avant d’aller me coucher… sur le canapé dans la pièce de travail de mon patron !

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.4

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.5

Photo avec mon téléphone mobile de la neige n.6

Plan de campagne : Jouéclub, Planète saturne et le reste : les gens veulent travailler !

Beaucoup de discussions vont bon train concernant ce problème, et beaucoup de personnes, y compris moi, pensaient que seuls les patrons râlaient : en effet, devoir fermer les dimanches et jours fériés est problématique, et le chiffre d’affaire prend un sale coup. Conclusion : les patrons râlent. Mais cela ne concerne pas que les patrons : les employés aussi râlent !

Voici ce qu’il y a au dessus de magasin de Jouéclub tous les dimanches, et c’est affiché déjà depuis 6 mois !

Jouéclub Plan de campagne affiche contre la fermeture le dimanche

Même chose pour Planète Saturne, je n’ai pas pris de photo mais c’est encore plus énorme : il y a une banderolle avec affiché : « Contre notre volonté, nous sommes obligés de fermer le dimanche et jours fériés« .

Dofus : captures d'écrans et pause quelques jours

J’ai décidé de faire une petite pause Dofus de quelques jours, peut-être plus, histoire de me remettre à ma petite passion, mais j’en dirais plus… quand j’aurai quelque chose de concret à présenter (et j’en parlerai ici, vous serez au courant).

En attendant, voici quelques petites captures d’écran :

Petit combat contre trois maîtres bolet : chaque maître a invoqué un champignon. Si vous pratiquez Dofus, vous savez que les champignons sont les plus longs à se déplacer… Le combat a duré horriblement longtemps et pour très peu de gain d’expérience… Regardez le nombre de joueurs gérés par l’ordinateur qui devaient jouer avant mon tour : une horreur, je devais attendre presque une minute complète avant mon tour…
Capture d'écran Dofus n°8

Dans la capture d’écran suivante, j’étais très content. Pourquoi ? J’ai une sadida, qui est level 75. J’en avais un peu marre, j’étais obligé de faire des combats en groupe ou de chercher un kani seul pour pouvoir le battre et gagner un peu d’expérience. Alors que depuis que j’ai découvert sacrieur, depuis le niveau 62, avec une panoplie qui donne énormément de vitalité je m’amuse et je commence à nouveau a prendre du plaisir pendant les combats. J’étais donc tout content d’avoir battu un vraiment haut niveau « maîtres bolets », ce qui est absolument impossible avec une sadida : même au level 75 avec une excellente panoplie, il est impensable de battre seul un groupe de 3 maîtres bolets accompagnés de leurs petits amis énervants, atteignant un niveau 167. J’ai fait une capture d’écran pour preuve, parce que peu de sadida me croient. Pour la note, il est impensable, de la même manière, d’attaquer un craqueleur des plaines avec un ou deux blops, niveau total aux alentours de 120, alors que dès que mon sacrieur a atteint le niveau 62, c’était faisable ! A deux sacrieurs niveau 75 et niveau 62, on fait tranquillement des groupes de 3-4 craqueleurs des plaines. Et les corbacs ne nous gênent absolument pas, alors que les feca et autres classes basées sur les sorts pleurent et nous sortent « oh non surtout pas avec des corbacs, ils suppriment tous les sorts de protection ! ». Sacrieur c’est ma classe préférée pour jouer contre les monstres ! C’est vrai qu’en joueur-contre-joueur (PvP), c’est beaucoup plus difficile qu’avec d’autres classes. Mais le plus souvent on est là pour faire des équipes et aller combattre des monstres. Le sacrieur c’est comme la classe des soigneurs (eniripsa) : dès qu’on commence à monter dans les niveaux, ils deviennent indispensables !
Capture d'écran Dofus n°10

Celle-ci est marrante et symbolise très bien les jeunes et leur style SMS « qui pique les yeux quand on lit » :
Capture d'écran Dofus n°9

Celle-ci est mythique et encore plus « pur SMS style » :
Capture d'écran Dofus n°11

Linux : mount permanent avec mot de passe (mémo simple)

mount donne la possibilité de faire croire qu’un répertoire de Linux existe bel et bien alors que ce n’est qu’un lien vers un autre répertoire.

Si vous voulez faire :

  • un montage qui reste, même après redémarrage de l’ordinateur ;
  • un lien vers un répertoire partagé Windows ;
  • préciser dès le début le nom d’utilisateur et le mot de passe Windows.

Voici la solution (je mets plusieurs couleurs pour bien différencier les paramètres) :
mount -t smbfs //192.168.0.85/www /root/test -o auto,username=macaille,password=bienrotie
Traduction simplifiée de l’ordre qui suit : « lorsque quelqu’un voudra accéder au répertoire /root/test, c’est en réalité le répertoire partagé www de l’ordinateur 192.168.0.85. Si on demande un utilisateur/mot de passe c’est macaille/bienrotie (quelle subtilité !) (options username/password)). Enfin, s’il redémarre, refaire automatiquement le montage : c’est l’option auto« .

Delphi : TClientDataSet, TDataSetProvider et TTable

Je développe en Delphi depuis plusieurs années et je me suis remis à la base de données il y a peu.

Donc je fais un petit mémo expliquant ce que j’ai compris, en espérant que cela fera gagner du temps à ceux qui n’y arrivent pas, et en sautant les étapes de l’aide Delphi, qui, quoique très précise et détaillée, aurait tendance dans un premier temps à plus nous embrouiller qu’autre chose.

Dans une application « orientée base de données », il faut tout d’abord afficher les données. Il y a les composants de données, qui commencent tous par TDB (TDBGrid, TDBEdit, TDBMemo etc.). On prend le composant, on le dépose sur la fiche. On a une « DBGrid1 » qui s’affiche.

Ensuite, il faut aller chercher les données qu’on veut afficher. Une « source de données ». En Anglais, un composant « TDataSource ». On prend le composant, on le pose sur la fiche, on initialise la propriété « DataSource » de notre « DBGrid1 » à « DataSource1 ».

Ensuite, ce composant « source de données » doit aller chercher les données quelque part. Mais où ? Eh bien chez un « serveur de données ». Pour cela il nous faut un objet appelé le client. Ça peut paraitre bizarre, mais on l’appelle « client » parce que c’est lui qui ira demander des informations à un serveur de données. C’est le client de données du serveur de données. Donc un client d’ensemble de données, en Anglais : « TClientDataSet ». On prend un composant « TClientDataSet », on le pose sur la fiche, et on initialise la propriété « DataSet » de « DataSource1 » à « ClientDataSet1 ».

Ce fameux Client, lui, doit donc se connecter à un serveur de données. C’est intéréssant dans la mesure ou ce fameux serveur peut être « hors » de l’application, sur un autre ordinateur, mais faisons simple : on va supposer que ce serveur est directement intégré à l’application. On utilise donc un composant fournisseur de données, en Anglais : « TDataSetProvider ». On prend un composant « TDataSetProvider », on le pose sur la fiche, et on initialise la propriété « ProviderName » de « ClientDataSet1 » à « DataSetProvider1 ».

On y est presque !

Il reste le côté purement physique, c’est à dire l’objet réel qui ira lire les informations. Nous allons prendre un objet TTable. (Il y a les objet TIBTable pour Interbase, TMyTable pour MySQL, TSQLTable pour dbExpress, bref, plein de tables dont on se sert de la même manière que TTable). On prend un composant « TTable, on le pose sur la fiche, et on initialise la propriété « DataSet » de « DataSetProvider1 » à « Table1 ».

Voilà l’image résultat :
Résultat Delphi TClientDataSet, TDataSetProvider, et TTable

Voilà le trajet des informations :

Lorsque la grille de données voudra lire des informations pour les afficher, la demande suivra ce trajet :

DBGrid1 => DataSource1 => ClientDataSet1 => DataSetProvider1 => Table1

et la Table ira lire les bonnes informations, et créera une réponse. La réponse fera le trajet inverse :

Table1 => DataSetProvider1 => ClientDataSet1 => DataSource1 => DBGrid1

L’intérêt d’avoir autant de composants c’est qu’on peut faire deux applications : le client qui affiche les données, et le serveur, qu’on peut mettre sur un autre ordinateur.

Il est possible de « couper » directement la route et de ne faire qu’un lien direct entre DataSource1 et Table1. (Le propriété DataSource1.DataSet = « Table1 »). Mais ce ne sera pas du tout évolutif. A éviter donc.

Dofus : métier pêcheur haut level (HL)

Dofus, le métier de pêcheur. Peu d’informations sont disponibles pourtant c’est un métier assez pratique d’un côté et relaxant d’un autre. Voilà. Ce petit article rapide sur le métier de pêcheur explique tout ce que je sais et quels sont les côtés intéressants de ce métier.

Très peu d’informations sont disponibles sur le métier de pêcheur dans Dofus.

Alors allons-y.

  1. Il n’est mentionné nulle part que les appâts, lorsque vous voulez apprendre le métier de pêcheur, si vous l’apprenez en [9,0] il faut aller les chercher chez Aga Dhou (certains sites vous racontent que c’est à peine à « quelques maps » donc on se dit deux trois mais c’est plus)
  2. Il va vous falloir de la patience et de la persévérance. Et ce n’est pas exagéré.
  3. Voilà quelque chose qui va vous intéresser si vous voulez gagner rapidement de l’argent : dès le début ! Lorsqu’on pêche, dès le début, on se fait souvent agresser par des gentilles tortues qui mangent les poissons (« dévoreurs de Greu-Vette », « dévoreurs de Poisson pané », etc.). A chaque fois vous gagnez 50 poissons. Si vous tuez un dévoreur de Greu-Vette vous gagnez 50 Greu-Vettes. Et là… vous pourrez vendre 100 Greu-Vette entre 10000 et 20000 kamas selon le serveur. A partir du moment où vous avez « accès » aux dévoreurs, donc pêcheur level 20, vous gagnez 10000 kamas rapidement, et franchement, c’est pas mal quand on est à peine level 20 !

Par la suite, à force de persévérance, vous allez progresser.

Les types de poissons dépendent de votre niveau :

  • Niveau 1 : petits poissons de mer et rivière
  • Niveau 10 : poissons de rivière
  • Niveau 20 : poissons de mer
  • Niveau 40 : gros poissons de rivière
  • Niveau 50 : gros poissons de mer
  • Niveau 70 : poissons géants de rivière
  • Niveau 80 : poissons géants de mer

Notez bien que pour pêcher des poissons géants… il va vous falloir faire un pas de géant : 20 niveaux à gagner (entre level 50 jusqu’au level 70, il n’y a rien !). Quand je vous dis qu’il faut être patient et persévérant, c’est peu dire… De toute façon pêcheur est vraiment un métier qu’il ne faut pas prendre pour gagner beaucoup d’argent rapidement. Je pense que l’idéal c’est d’avoir un pêcheur pour se faire du poisson, et un poissonnier pour le rendre comestible, au même titre qu’un couple paysan/boulanger ou chasseur/boucher. D’ailleurs ce dernier couple semble encore plus dur que d’être pêcheur… c’est à voir.

Vous voulez savoir comment on gagne de l’expérience ? Voici un résumé.

Expérience (XP) gagnée lors de la pêche sur Dofus
Endroit
Rivière Mer
Petits 10 10
Normaux 15 20
Gros 30 35
Géants 45 50
  • Avantages :
    • 0n fait des choses comme le pain, c’est à dire que ça rapporte de la vie lorsqu’on en a perdu. Voilà un exemple de l’inventaire de mon sacrieur avant de partir au combat :Inventaire de mon sacrieur level 50
    • Le pain qui n’est pas cher (1 PV = 1 kama donc un pain 100 PV = un 100 kamas) pèse lourd, très lourd pour les sacrieurs (3 pods le pain +100 PV). Alors que si on se fait son poisson on pourra rapidement se faire une petit recette Kralamour +100 PV / 1 pod
  • Inconvénients :
    • Très long à arriver au niveau 40, où là ça va un peu mieux… pour la pêche ;
    • Tant qu’on n’est pas au niveau 40, lorsqu’on vide un poisson ça fait gagner 1 XP. Arrivé au niveau 40, vider le poisson est considéré comme une case, donc il ne rapporte plus rien. Super énervant : il n’y a plus que la pêche qui rapporte de l’expérience ;
    • Très long, très long, très long. Deux semaines pour arriver level 50 sans rien faire d’autre. Si vous voulez faire pêcheur, il va vous falloir être très très très patient

Pour vous donner une idée de la difficulté : je viens de passer pêcheur level 61.
Je suis à 105083 d’expérience, il faut que j’atteigne 109930.
109930 – 105083 = 4847. Je ne peux pêcher qu’au maximum des poissons qui rapportent 35 XP, donc 4847 / 35 = 139 (en gros). Pour passer au level 61 il faut que je pêche 139 poissons ! C’est super long… je le redis : il va vous falloir de la patience et de la persévérance !

Mon grand-père nous a quitté

A 89 ans, il a eu une hernie étranglée. Arrivé à l’hôpital, tout s’est bien passé, l’opération aussi, mais le lendemain il s’est mis à vomir sans arrêt et cette nuit, son coeur s’est mis à ralentir de plus en plus. Aux dires des médecins, son coeur était trop fatigué, il ne voulait plus fonctionner.

C’est la vie.