Linux Cron : mémo rapide / exemples concrets

Bon, pour tous ceux qui veulent utiliser cron, voici comment il fonctionne (c’est souvent le plus difficile à comprendre).

Toutes les minutes, le système vérifie s’il faut qu’il lance un programme. Comment fait-il sa vérification ?
C’est simple : il prend date + heure du moment et la décompose.
Prenons aujourd’hui et maintenant :

Samedi 27 février 2010, 1h44 du matin

Cela va être décomposé ainsi :

Minutes / Heures / Jour / Mois / Jour de la semaine
44      / 01     / 27   / 02   / 6

Et le système va lister toutes les tâches, et si les chiffres sont identiques, alors il l’exécute.
Exemple :

* * * * * root ping -c 1 google.fr > /dev/null

Le «*» signifie : «quelque que soit le chiffre, c’est valide».
Comparaison :

Minutes / Heures / Jour / Mois / Jour de la semaine
44      / 01     / 27   / 02   / 6
*       / *      / *    / *    / *

Tout correspond => exécution de la tâche !
Maintenant, des exemples qui vont vous servir :

# m h dom mon dow user  command
17 *  * * * root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «minutes = 17» => lancer «[commande]» toutes les heures (00:17, 01:17, 02:17, 03:17 etc.).

# m h dom mon dow user  command
25 6  * * * root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «minutes = 17» et «heure = 6» => lancer «[commande]» tous les jours à 6:17.

# m h dom mon dow user  command
47 6  * * 7 root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «minutes = 47, heure = 6» et «jour de la semaine = 7» => lancer «[commande]» tous les dimanches à 6:47.

# m h dom mon dow user  command
52 6  1 * * root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «minutes = 52, heure = 6» et «jour du mois = 1» => lancer «[commande]» tous premiers du mois à 6:52.

Un peu plus complexe mais plus pratique : on peut préciser des intervalles : «2-6» veut dire «de 2 à 6 inclus». Exemple :

# m h dom mon dow user  command
* 1-6 * * * root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «heure est comprise entre 1 et 6» => lancer «[commande]» toutes les minutes, de une heure à six heures du matin (c’est un exemple concret puisque «[commande], c’est une commande d’une araignée Internet (spider) qui va vérifier des choses pendant que tout le monde dort).

Un peu plus complexe mais encore plus pratique : on peut préciser des intervalles : «*/4» veut dire «tous les multiples de 4». Exemple :

# m h dom mon dow user  command
*/4 1-6 * * * root    [commande]

Lancer la commande toutes les fois où «heure est comprise entre 1 et 6» et «la minute est un multiple de 4» => lancer «[commande]» toutes les quatre minutes, de une heure à six heures du matin (c’est un exemple concret puisque «[commande]», c’est une commande d’une araignée Internet (spider) qui va vérifier des choses pendant que tout le monde dort).

PS : oui oui il est bien 1:44 du matin et je n’arrive pas à dormir…

Labyrinthes Trackmania : ça a fonctionné !

J’ai écrit un énorme générateur de labyrinthes pour Trackmania :

Forum Trackmania sur mes labyrinthes

Et plein de personnes ont répondu, il y en a même une qui a crée un topic sur un forum Espagnol :

http://tm.maniazones.com/forum/index.php?topic=20292.0

Enfin, comme les liens ne fonctionnent pas forcément, voilà le lien pour aller récupérer tous les fichier de folie que mon générateur a fait :

http://olivier.pons.free.fr/archives/

Et n’oubliez pas la meilleure page concernant ces labyrinthes, qui se trouve directement sur ce site même :

Trackmania et labyrinthes

Piano : une composition de l'une des oeuvres de de S. Adams (1844–1913)

L’auteur de cette composition est S. Adams (1844–1913). Je n’ai rien pu trouver sur cet auteur En Français. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat de sa biographie, mais dans la langue de Shakespeare. Si vous avez plus d’informations en Français au sujet de ce compositeur, n’hésitez pas à laisser un commentaire, je l’intègrerai dans cet article.
Voici une de ses œuvres (je l’ai retenue car elle était destinée au piano bien sûr) :

The Blue Alsatian Mountains

Elle est faite pour voix et piano.
Cette composition est une chanson.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité n’est pas bonne).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Piano : quelques compositions des oeuvres de A. Adam (1803–1856)

L’auteur de toutes ces compositions est A. Adam (1803–1856). J’ai pu trouver sa biographie en Français. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat en Français.
Voici quelques-unes de ses œuvres (je les ai retenues car elles étaient destinées au piano bien sûr) :

Giselle – Pas de deux (1er Acte)

Elle est faite pour piano.
Son genre est du type classique.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est limite).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici

Minuit Chrétiens

Elle est faite pour voix et piano.
Cette composition est un hymne.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est mauvaise).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Piano : une composition de l'une des oeuvres de de F. Abt (1819–1885)

L’auteur de cette composition est F. Abt (1819–1885). J’ai pu trouver sa biographie en Français. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat en Français.
Voici une de ses œuvres (je l’ai retenue car elle était destinée au piano bien sûr) :

When the Swallows Homeward Fly (Agathe)

Elle est faite pour voix et piano.
Elle a été composée en 1846
Cette composition est une chanson.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est très moyenne).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Piano : idées pour les débutants

Je commence à peine à pratiquer le piano, mais j’essaie de me faire des petites notes pour m’aider à progresser plus vite.

Voici les dessins que j’ai faits, en espérant, comme beaucoup d’articles par ici, que cela serve à quelqu’un d’autre que moi. Surtout, cliquez dessus pour avoir la version « grand format » :

Comme je n’arrivais pas à faire correctement le lien entre le nom de la note et les touches, je me suis fait un dessin en conséquence :

Les touches :
01 . Touches de piano

Comme les touches sont regroupées par « octaves » (on dit « une octave »), j’ai tout mis en surbrillance pour qu’on les différencie :
02. Touches de piano avec une couleur par octave

Puis les touches du milieu, ce sont les références :

  • touche rouge (à gauche) = Fa = touche de référence de la main gauche ;
  • touche verte (au milieu) = Do = touche de référence du milieu ;
  • touche verte (à droite) = Sol = touche de référence de la main droite.

03. Touches de piano avec le Do et le Sol mis en surbrillance

Enfin, un tableau qui m’a pris un temps dingue : les touches de piano et leurs liens avec les notes sur une partition :
04. Tableau avec les touches de piano et leur lien avec les notes sur une partition

Python : mes premiers essais

Bon, sur cet article ici, j’ai traduit tout le vécu d’un auteur, et j’ai voulu tester par moi même.

En pratique, j’ai installé un dictionnaire de Français entièrement gratuit, et je voulais récupérer les mots Français, sans la définition (je ne dirai pas pourquoi par contre hahahah).

Donc je regarde les fichiers, c’est du XML.
Ok donc il me faut juste un parseur.
En Delphi, ça m’aurait pris disons… une trentaine de minutes.
Eh bien pour mon premier script en Python, ça m’a pris… 10 minutes.
Oui oui je n’exagère pas : 10 minutes, j’ai lancé le chrono pour voir si j’allais être rapide ou pas.
Voilà mon script :

1 #! /usr/bin/env python
2 # -*- coding: utf-8 -*-
3
4 # r = open('/datas/dictionnaire/test
5
6 import types, fileinput
7
8 def process(line):
9 if line[0:7] == ' 0):
12 sub = sub[:sub.find(' ')]
13 if (sub.find(',') > 0):
14 sub = sub[:sub.find(',')]
15 print(sub)
16
17 for line in fileinput.input():
18 process(line)

Incroyable. Effectivement, en pratique c’est vraiment ce que j’ai mis sur mon article précédent : tout est clair, lisible, la documentation aide bien, et c’est extrêmement rapide, en tous les cas sa rapidité suffit amplement pour faire toutes les tâches de scripts de base que l’on veut.

Je suis extrêmement content, à part depuis la découverte de la librairie ExtJs, qui est très impressionnante, ça allait faire longtemps que je n’avais pas été autant enthousiasmé (du point de vue informatique, j’entends).

Mise à jour WordPress : demande ftp de mot de passe

Cet article a été honteusement pompé ici.
Mais je fais l’effort de le traduire en Français (en espérant que ça aide du monde) !

Lorsque vous tentez de faire une mise à jour automatique via le menu « Faire une mise à jour », en cliquant sur le bouton « Mettre à jour automatiquement » et que WordPress vous demande des informations ftp avec un nom d’utilisateur et un mot de passe, l’explication est simple : les droits d’écriture dans les répertoires ne sont pas bons. Il vous suffit d’aller changer les droits et d’autoriser l’écriture et hop !

Tout fonctionne !

En espérant que ça aide du monde !

Vim : comment changer les couleurs sur Linux

Sur Linux en ligne de commandes il vous faut lister toutes les colorations possibles :
C’est simple tapez l’ordre « locate koehler » comme ceci :
# locate koehler
/usr/share/vim/vim70/colors/koehler.vim
#

Et vous aurez la réponse qui vous dit où se trouve le fichier de coloration appelé « koehler »
C’est là que se trouvent tous les fichiers. Donc dans notre cas c’est dans :
/usr/share/vim/vim70/colors/
Il suffit de faire un listing de toutes les colorations disponibles :
~# ls -1 /usr/share/vim/vim70/colors/
blue.vim
darkblue.vim
default.vim
delek.vim
desert.vim
elflord.vim
evening.vim
koehler.vim
morning.vim
murphy.vim
pablo.vim
peachpuff.vim
README.txt
ron.vim
shine.vim
slate.vim
torte.vim
zellner.vim
~#

Ensuite éditez votre fichier de configuration personnel (celui que vim lit et applique lorsque vous le lancez) :
vim ~/.vimrc

Et ajoutez-y à la fin une coloration. Moi j’aime bien zellner.vim :
colorscheme zellner

Sauvez le fichier puis éditez n’importe quel fichier et vous verrez que la coloration a changé.

Yamaha Piano Numérique YDP 140

Début de mes expériences dans le piano…

J’ai passé près d’une heure de discussion avec le vendeur qui semblait bien s’y connaitre.

Pour résumer, les pianos comme le Yamaha que je voulais sont principalement des « arrangeurs » c’est à dire qu’ils sont faits pour jouer en groupe, ou pour faire ses propres compositions de musique, en mettant plusieurs morceaux ensemble, en les reliant à l’ordinateur etc.

Ils ne sont pas fait réellement pour les gens qui veulent faire du piano seul. Comme moi.
De plus (détail non négligeable) il faut compter grossièrement 70 euros pour avoir les pédales. Ce qui fait monter le prix à 800 euros.

Pour ce prix, il existe un piano destiné aux gens qui veulent faire du piano seul. Celui-ci. Seulement deux contraintes :

  1. pas d’afficheur, mais en pratique ça ne sert à rien (toujours dans le cadre où on ne veut faire que du piano) ;
  2. c’est un « meuble » à part entière donc ça prend de la place.

Il a en plus une autre particularité très intéressante : pour les touches, sur tous les « arrangeurs » (j’utilise ce terme maintenant que j’ai mieux compris), il y a une détection de la « force » c’est à dire que plus on appuie vite /et fort, plus le son est fort. C’est bien mais en pratique c’est pas réaliste. Sur ce piano même dès le bas de gamme, il y a 3 enregistrements de « force » de touche et en fonction de la force avec laquelle on appuie non seulement le son est en fonction de la force, mais en plus c’est l’enregistrement le plus approprié du son qui sort. On obtient ainsi quelque chose de beaucoup plus proche de la réalité qu’avec les arrangeurs.

Je vais donc acheter ce modèle d’ici peu, et je vais voir si cela ne prend pas trop de place, et si tout me convient, mais je commence à voir réellement la direction à prendre et le type de clavier numérique à acheter.

J’oubliais le détail qui me fait le plus hésiter : la revente.
Comme tous les pianos ou presque, si on en achète un, il faut bien prendre en compte qu’on ne pourra jamais le revendre. Jamais. Je ne me fais pas d’illusions, je sais que cet achat c’est pour me faire plaisir et je ne m’achèterai rien d’autre pendant au moins une année… mais surtout c’est perdu, définitivement. Ce n’est pas comme ma Playstation que j’ai pu revendre, ou très récemment mon vieil ordinateur (on trouve toujours un passionné qui rachète), non, là, le piano c’est vraiment un cercle restreint de passionnés qui n’ont pas d’argent en général (les artistes sont ainsi, sans y mettre aucune connotation péjorative dans ma phrase), et donc impossible à revendre. De plus les pianos numériques évoluent assez vite donc dans 2-3 ans le mien ne vaudra vraiment plus rien et prendra toujours autant de la place, donc il sera définitivement impossible à revendre.

Conclusion définitive : il faut vraiment que je sois sûr à 150 % d’en profiter et de m’en servir sinon c’est de l’argent jeté par la fenêtre.