Equivalent dos2unix

Sous Linux/Unix, Si vous cherchez à transformer un texte DOS (va de retro Satanas) en texte Unix, voici une solution rapide et efficace :

awk '{sub(/\r$/,"");print}' nom_fichier_dos > nom_fichier_unix
ou bien encore :
sed 's/.$//' nom_fichier_dos > nom_fichier_unix

Cette petite explication a été honteusement pompée ici, le but principal étant d’aider ceux qui ont du mal avec l’Anglais.

Piano : une composition de l'une des oeuvres de de A. Dvorák (1841–1904)

L’auteur de cette composition est A. Dvorák (1841–1904). J’ai pu trouver sa biographie en Français. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat en Français.
Voici une de ses œuvres (je l’ai retenue car elle était destinée au piano bien sûr) :

Als die alte Mutter

Elle est faite pour voix et piano.
Elle a été composée en 1880
C’est une composition romantique.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est limite).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Piano : quelques compositions des oeuvres de S. C. Doonan (1952–)

L’auteur de toutes ces compositions est S. C. Doonan (1952–). Je n’ai rien pu trouver sur cet auteur. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat d’une recherche sur google… et surtout si vous avez plus d’informations à son sujet, n’hésitez pas à laisser un commentaire, je l’intègrerai dans cet article.
Voici quelques-unes de ses œuvres (je les ai retenues car elles étaient destinées au piano bien sûr) :

Abstract 1

Elle est faite pour piano.
Elle a été composée au July 2005
Son genre est du type jazz.
Sa licence est de type « Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.5« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, il ne faut pas se fier à la qualité vous pourrez faire mieux).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici

Arabesque 1

Elle est faite pour piano.
Elle a été composée vers 2006/Feb
Son genre est du type jazz.
Sa licence est de type « Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.5« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité sonore cache la qualité réelle vous pourrez faire bien mieux).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici

Enchanted Island

Elle est faite pour piano.
Elle a été composée en 1976
Son genre est du type jazz.
Sa licence est de type « Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.5« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est très moyenne).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Apache : rotation de log

J’ai trouvé un article sur la rotation des logs très intéressant, mais il y a une lacune du côté du serveur Apache qui n’est pas résolue. D’ailleurs qui ne semble résolue nulle part.

>_<

A savoir lorsqu’on utilise la gestion des hôtes virtuels, apache crée un processus de log *par* fichier log. Donc par exemple : un hôte virtuel, un fichier de access_log et un fichier error_log dédié = 2 process rotatelogs. J’ai 12 sites vhost (très peu de fréquentation heureusement), ça me fait un total de 24 process dans ma liste des process… J’ai beau chercher un moyen de n’avoir qu’un seul process, je n’ai trouvé que le module mod_log_rotate qui donne la possibilité d’avoir la rotation de log directement en interne dans Apache, mais, à cause de la gestion des erreurs telle qu’implémentée dans Apache, ce module ne peut gérer que les logs d’accès, pas les logs d’erreur. Autrement dit il me restera tout de même 12 logs différents qui correspondront aux logs d’erreur.

Je me demandais, si, éventuellement, il ne serait pas plus judicieux de faire comme le suggère ce monsieur, à savoir ne pas utiliser mod_log_rotate, ni le programme livré avec Apache, mais de se servir plutôt de l’outil système d’archivage, et, en pratique, juste avant de les archiver, de faire un « awstats » sur les logs. Ce qui me gêne, c’est l’éventualité d’un conflit d’écriture. Que se passe-t-il si jamais j’ai 30 visiteurs de connectés sur mon site en même temps (ce qui serait très bien), qu’Apache écrit dans le log concerné, et que Logrotate est lancé à ce moment là ? C’est la seule et unique chose qui me retient pour l’instant de faire le saut dans cette direction.

Piano : une composition de l'une des oeuvres de de O. Comeau (1924–1971)

L’auteur de cette composition est O. Comeau (1924–1971). Je n’ai rien pu trouver sur cet auteur. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat d’une recherche sur google… et surtout si vous avez plus d’informations à son sujet, n’hésitez pas à laisser un commentaire, je l’intègrerai dans cet article.
Voici une de ses œuvres (je l’ai retenue car elle était destinée au piano bien sûr) :

Ellen’s Song

Elle est faite pour piano.
Elle a été composée au 1950s
Son genre est du type folk.
Sa licence est de type « Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.5« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est limite).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject

Vim : mémo pour des ordres simples

Je vais ici mettre toutes les astuces au fur et à mesure que je les découvre :

Le fichier de configuration personnalisé par rapport à l’utilisateur connecté est :
~/.vimrc

Directement sous vim comment éditer le fichier de configuration :
:e $MYVIMRC

Pour mettre des espaces au lieu de tabulations :
set expandtab

Pour dire à combien d’espaces à insérer lorsqu’on appuie sur Tab :
set tabstop=2

Les macros :

  • Commencer l’enregistrement :
    q[lettre]
  • Terminer l’enregistrement :
    q
  • Rejouer une macro :
    @[lettre]

Directement sous vim comment éditer un fichier de coloration syntaxique :
:e $VIMRUNTIME/syntax/

Tiré de l’aide et ré-expliqué à ma sauce :

  • Donner un ordre uniquement applicable sur le fichier en cours :
    setlocal [ordre]
  • Aller à la ligne automatiquement si la taille dépasse 78 caractères :
    textwidth=78
  • Appliquer un ordre que si le fichier est de type « text » :
    autocmd FileType text [ordre]
  • Mélange des 3 précédents points :
    autocmd FileType text setlocal textwidth=78
    Explication : dès que le fichier est de type « text », appliquer uniquement sur ce fichier cet ordre : aller à la ligne automatiquement si la taille dépasse 78 caractères.

Lancer une commande shell sans quitter vim :
:![commande shell]

Lancer un commande shell sans quitter vim :
:sh
(puis quand vous avez fini, quitter le shell via Ctrl-d ou l’ordre « exit ») et vous revenez sous vim !

Si vous avez d’autres suggestions surtout n’hésitez pas !

Créer un film : 9 choses que vous devez avoir en tête, et pas plus !

J’ai entièrement traduit cet article, que je trouve intéréssant, ici.

Ci-suivent les neuf choses vous devez faire si vous voulez faire un film. Neuf, pas plus.

  1. Bordel, attrapez votre caméra et filmez ! Éliminez vos idées classiques de « j’ai besoin de quoi, j’ai besoin de qui, il me faut de l’argent », et ne vous arrêtez plus de manière obsessionnelle sur chaque petit détail. Si vous n’arrivez pas à avoir l’argent dont vous avez besoin, alors cherchez un moyen d’atteindre vos objectifs avec moins d’argent. Si vous ne trouvez pas l’endroit idéal, ré-écrivez le script, mais cela doit se passer dans un endroit du domaine du possible. Ré-écrivez jusqu’à ce que vous ayez un film que vous pouvez faire, ici, maintenant, tout de suite !
  2. Trois prises et c’est bon… Pourtant, avec la vidéo digitale, vous pourriez faire autant de prises que désiré, non ? Eh bien non ! Faites trois prises et passez à la suite, exactement comme si vous créiez un film 35mm. Les seules scènes vraiment importantes ou très courtes peuvent aller jusqu’à cinq prises mais dans tous les cas, après ça, passez à la suite. Les acteurs ne feront jamais mieux que sur trois prises. Il faut l’accepter, c’est comme ça.
  3. Faites la globalité, puis les trucs originaux après. Faites un plan d’ensemble, puis un plan moyen, puis rapproché de chaque personne, et enfin faites quelques inserts. Si selon vous la scène telle quelle vous va, ce n’est qu’à ce moment là que vous pouvez vous exprimer et faire des choses originales. Mais même là, si ces « choses originales » n’ajoutent rien au film, vous devriez peut-être passer à la scène suivante.
  4. Faites du bon son, ou apprenez ADR. Avoir un bon son, c’est impératif. Même si vous ne pouvez pas le faire pendant les prises, faites le via ADR. Ayez en tête que ça peut coûter très cher, si vous n’avez pas accès à un studio de post production sonore. Essayez vraiment de capturer avec la meilleure qualité possible pendant la production, mais prévoyez dans le budget un minimum d’ADR. Ce serait même déjà une bonne idée d’imaginer comment faire des dialogues ADR dès maintenant. C’est une compétence dont vous vous servirez inévitablement.
  5. Apprenez à éditer, que vous vouliez éditer votre film vous-même ou pas, il vous faut apprendre l’édition. Si vous ne savez pas le faire, alors vous ne saurez jamais comment faire un minimum de montage et comment construire correctement un film. Ou, à l’extrémité opposée du spectre, vous allez faire une couverture de tout ce que vous voulez faire beaucoup plus large, beaucoup plus de shots, et votre éditeur aura à visualiser / éditer / travailler des heures entières de séquences inutiles. C’est aussi une mauvaise chose parce que si votre éditeur doit se farcir des heures entières de tri inutilement, il va se lasser et vous aurez de grandes chances de le voir ralentir, peut-être même abandonner en plein milieu de l’édition. Si vous avez fait tout ce qu’il faut dans le bon ordre, l’édition devrait évoluer et suivre les séquences de manière transparente.
  6. Finissez le film. Par dessus tout, finissez le. Si c’est votre premier film, il va sûrement être mauvais. Acceptez le. Mais vous devez être conscient que quelque soit la valeur d’un film, qu’il soit bon ou mauvais, il aura toujours un minimum de valeur, alors qu’un film qui n’est pas terminé ne vaut rien. Allez sur un site de vente de films pourris genre horreur gore, achetez les et regardez les. Ça vous coûtera très peu d’argent et ça vous fera réaliser que beaucoup de films ne sont pas que mauvais, ils sont… comiquement horribles. Tout est hors focus, l’histoire n’a aucun sens, et les gamins de 15 ans se prennent pour les rois du monde. C’est complètement ridicule mais il y a une chose qu’on ne peut pas leur reprocher : ils ont été finis. Et pas que ça : ils ont été vendus. Il y a quelques distributeurs qui font un petit business en cherchant des films comme ceux-là afin de les revendre (regardez du côté de « best buy »). Typiquement les producteurs de ce genre de films peuvent faire entre 5000 et 10,000 € de vente en conservent 100% des droits sur leurs « chefs-d’œuvre ». C’est sûr vous ferez pas péter le champagne dans une limousine sur Beverly Hills… mais au moins vous pourrez dire que vous avez vendu un film. Croyez moi, la réalité est simple : vraiment très peu de personnes arrivent réellement à terminer un film. C’est une tâche difficile, pour ne pas dire impossible à faire même si vous avez des millions à dépenser. Mais si vous y arrivez, vous pourrez approcher des vrais investisseurs et dire que vous êtes un vrai producteur. Faites le film complet même s’il ressemble à un collage de différentes pièces, que les prises de vues sont mauvaises, le focus mal fait… mais finissez le. Si votre carrière doit commencer quelque part c’est uniquement de cette façon : un film mauvais, mais un film terminé.
  7. N »oubliez pas un autre aspect. En espérant que je vous ai convaincu que vous n’allez pas faire le prochain hit en faisant des shoots en DV et en les éditant sur votre iMac. Et en espérant aussi que malgré tout ça vaut toujours le coup de le faire… Comment vous assurer que vous allez tout de même progresser et atteindre vos objectifs réels dans votre carrière de cinéaste ? Comme je l’ai dit, chercher à faire un film parfait c’est le miroir aux alouettes… mais ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas être parfait dans une direction donnée. Essayez de faire en sort qu’un aspect particulier de votre film ressorte. Ok, les acteurs ne sont peut-être pas les meilleurs… mais peut-être que vous avez le talent nécessaire pour qu’à la fin, l’audience fasse un « wow ». Peut-être connaissez vous un endroit particulier d’une beauté envoûtante, dont vous pouvez vous servir pour transformer un petit film en quelque chose de plus grand qu’une vie toute entière. Peut être que vous et vos amis sont ceinture noire en karaté et vous réussirez à tourner quelque chose qui va scotcher les téléspectateurs. L’idée générale est qu’à la fin du film, il faut qu’il y ait quelque chose qui en ressorte clairement. Au moins un aspect. Imaginons que vous tourniez une scène de combat géniale. Peut-être que vous ne ferez jamais plus d’autre film dans votre vie, qui sait, mais au moins vous aurez fait une scène marquante. Peut-être que vous ne ferez jamais plus d’autre film, mais lors d’une première, vous serez remarqué par un producteur qui veut une équipe de cascadeurs exceptionnelle pour son prochain film. Deux ans plus tard vous êtes celui qui fait la chorégraphie et la mise en place de toutes les actions spectaculaires des grands films à venir. Ce n’était peut-être pas l’objectif de départ, mais ça ne sera pas un mauvais résultat, avouez !
  8. Réussissez bien une scène. Faites au moins une scène dans votre film qui met en valeur l’aspect que vous désirez faire voir en priorité. Peut-être qu’il faudrait rallonger cette scène de combat pour la rendre encore plus épique, qui sait. Peut-être que vous pouvez faire une seule scène en continu qui met clairement en valeur les qualités des acteurs et les vôtres, ainsi que la direction que vous avez décidé d’imposer. Mais par dessus tout il vous faut vraiment une scène bien solide et bien ancrée qui laisse suggérer que vous avez du talent qui ne demande qu’à être exploité.
  9. Faites une bande annonce qui tue. Oui, une vraie tuerie. Sans bonne bande annonce, personne ne voudra voir votre film. Le secret d’une bonne b.a. est d’attirer la curiosité… d’ailleurs là dessus, restez connecté, car je vais faire prochainement un article là dessus : « trentes secondes pour un film qui marche, ou comment faire une bonne bande annonce ».

Hadopi : le scandale…

Toute la retranscription du discours est là, cliquez ici.

Je cite :

Mme Sandrine Mazetier. Comme l’a souligné Alain Suguenot, ce texte ne répond en rien aux problèmes auxquels peuvent être confrontés aujourd’hui certains artistes. En effet, ce projet de loi très mal nommé ne prévoit rien en faveur de la création : comme nous l’avons démontré à maintes reprises, pas un euro de plus n’ira aux créateurs, aux auteurs, aux compositeurs, aux cinéastes. Mêmes les producteurs, les seuls à connaître actuellement quelques difficultés, ne toucheront rien de plus.

[coupure du texte]

Ce projet de loi durcit les choses, et M. Lefebvre se trompe quand il affirme suivre l’avis du rapporteur.

M. Christian Paul. Il est parti, M. Lefebvre !

Mme Martine Billard. Comme d’habitude !

Incroyable. Pendant qu’elle explique des choses, le principal concerné s’en va !

Piano : une composition de l'une des oeuvres de de H. Carey (1687?–1743)

L’auteur de cette composition est H. Carey (1687?–1743). J’ai pu trouver sa biographie en Français. Si vous cliquez dessus vous verrez le résultat en Français.
Voici une de ses œuvres (je l’ai retenue car elle était destinée au piano bien sûr) :

Sally in Our Alley

Elle est faite pour voix et piano.
Cette composition est une chanson.
Sa licence est de type « Domaine publique« .
Si vous voulez l’écouter cliquez sur : fichier midi (.mid) (attention, la qualité est mauvaise).
Le plus intéressant : cliquez ici pour voir la partition
Vous pouvez éventuellement lire une jolie description de cette composition ici
Enfin, tous les fichiers de cette composition sont regroupés ici
NB : j’ai récupéré ces compositions, qui sont entièrement libres de droit, sur ce site qui est tout simplement géniallissime : mutopiaproject